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Deux ans après le nettoyage ethnique du Haut-Karabagh : justice, mémoire et patrimoine en débat

  • Photo du rédacteur: Association Hyestart
    Association Hyestart
  • 19 sept.
  • 1 min de lecture
La Cathédrale Ghazanchetsots de Chouchi avant sa « restauration » par l’Azerbaïdjan
La Cathédrale Ghazanchetsots de Chouchi avant sa « restauration » par l’Azerbaïdjan

Il y a deux ans, plus de 100’000 Arméniens du Haut-Karabagh (Artsakh) ont été déracinés de leur terre ancestrale lors d’un nettoyage ethnique orchestré par l’Azerbaïdjan, avec le soutien de la Turquie et la passivité de la « communauté internationale ».


Aujourd’hui encore, 23 prisonniers de guerre arméniens sont détenus illégalement à Bakou.


La situation la plus dramatique reste celle des disparus de force : effacés de toute existence légale, leurs familles demeurent sans nouvelles, sans recours, sans justice. Il y a un an, le Conseil administratif de la Ville de Genève appelait à leur libération inconditionnelle.


Le pré-accord de paix signé à Washington le 8 août 2025 ne règle aucun de ces problèmes fondamentaux : détentions arbitraires, disparitions forcées, impunité des crimes, droit au retour, négation et destruction du patrimoine. Sur certains points, il aggrave même la situation.


Pour réfléchir ensemble à ces enjeux, notamment ceux liés au patrimoine, Hyestart vous invite à la conférence-débat du 20 septembre à Lyon, organisée par le Campus numérique arménien :



L’inscription, gratuite, permet d’assister à la conférence en ligne. Trois ans après le déracinement des Arméniens d’Artsakh, il est plus que jamais nécessaire de rappeler que sans justice, il ne peut y avoir de paix durable.

 
 
 
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