Conférences, articles, rencontres, prises de position, interventions diverses ou encore plaidoyer aux Nations Unies, à l'UE, au plan national ou au plan local. De différentes manières, Hyestart s'engage pour le droit à l'auto-détermination de l'Artsakh, contre le racisme d'Etat et pour la reconnaissance du génocide des Arméniens par la Turquie. 

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Hyestart organise et co-organise des conférences et des expositions ou intervient dans le cadre de conférences ou d'événements organisés par d'autres organisations. Hyestart adopte aussi des positions ou des documents qu'elle soumet à l'ONU, à l'UE ou à d'autres organisations pour faire valoir le droit à l'auto-détermination ou la lutte contre le racisme d'Etat. 

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Voici quelques exemples: 

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En 2017, en coopération avec Dialogai, Hyestart a co-organisé une soirée sur les droits LGBT+ en Arménie avec Pinar Selek. Une discussion a suivi la projection du documentaire de Pink Armenia "Listen to Me: Untold Stories Beyond Hatred". 

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En 2018, Hyestart a organisé la présentation du livre "Diasporalogue" (Thadée) de S. Avédikian et T. Yégavian au centre Hagop D. Topalian de Troinex.

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La même année, nous avons co-organisé l'exposition "Free Word" sur la censure en Turquie avec Amnesty International - Groupes de Genève à la maison des associations de Genève. En ouverture de l'exposition, nous avons organisé une conférence sur la censure en Turquie avec des intervenants prestigieux dont l'écrivaine Asli Erdogan, aujourd'hui comme tant d'autres exilée. 

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En janvier 2020, nous avons co-organisé avec l'association Fragments et la Fondation Armenia l'accueil à Troinex de la pièce de théâtre musical "Parce qu'ils sont Arméniens" basée sur le texte de Pinar Selek par la compagnie de l'Ourag'enchant'é. 

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En mars 2020, nous devions co-présenter en présentiel en tant que partenaire du FIFDH le documentaire « I’m not Alone » de Garin Hovannissian racontant la prise de pouvoir en Arménie par le journaliste Nikol Pashinyan qui avait débuté par un voyage de 40 jours à travers le pays. Pour cause de Covid, la projection a eu lieu en ligne. 

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En octobre 2020, quelques semaines après le début de la guerre de 44 jours lancée par l'Azerbaïdjan contre la République d'Artsakh, Hyestart est intervenu dans le cadre d'une conférence organisée par l'Adek, l'association des étudiant.e.s kurdes de l'Université de Genève, intitulée: "l'Artsakh, mausolée d'Erdogan?". Le même mois, Hyestart a soutenu avec d'autres l'organisation d'une chaîne humaine pour l'arrêt immédiat de la guerre et pour la reconnaissance de l'Artsakh - du Palais Wilson - ex-siège de la Société des Nations à la place des Nations, siège actuel des Nations Unies à Genève. 

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En 2021, d'autres interventions ont eu lieu, par exemple auprès de Dove Tales, l'association des artistes écossais pour la paix. 

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En 2020 et 2022, Hyestart a mené des actions de plaidoyer et de sensibilisation dénonçant la destruction du patrimoine culturel arménien du Haut-Karabagh par l'Azerbaijan.

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En 2022, Hyestart a fait une soumission sur l'Azerbaïdjan au Comité pour l'élimination de la discrimination raciale de l'ONU.

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Le 27 février 2023, Hyestart a soutenu l'organisation d'une manifestation devant l'ONU à Genève en ouverture du Conseil des droits de l'homme contre le blocus illégal et inhumain du Haut-Karabagh par l'Azerbaïdjan. Cinq jours plus tôt, la Cour international de Justice de l'ONU avait confirmé l'illégalité de ce blocus. 

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En mars 2023, Hyestart crée le collectif Libertas avec l'association Covcas pour le droit et la résolution des conflits (Lyon) et l'observatoire d'arménophobie (Paris). Le collectif Libertas mène une campagne éponyme pour la libération des prisonniers de guerre arméniens abusivement détenus par l'Azerbaïdjan. Le parrainage des prisonniers de guerre par des collectivités publiques comme la ville de Lyon ou des ONG comme le Scottish Peace Network est au cœur de cette campagne. 

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En juin 2023, à l'invitation de l'association Fragments, Hyestart a participé à une discussion avec Pinar Selek qui a suivi la représentation de la pièce "Parce qu'ils sont Arméniens" à Lausanne dans le cadre du centenaire du traité de Lausanne. Ce fut l'occasion de rappeler le fil rouge de l'idéologie au pouvoir en Turquie et en Azerbaijan depuis plus  de 100 ans. Riza Nur, le négociateur du Traité de Lausanne pour la Turquie avait qualifié les Arméniens de "tumeur maligne en Asie". Cent ans plus tard, en mars 2023, le parlement de l'Azerbaïdjan adoptait une déclaration qualifiant la diaspora arménienne - les descendants de rescapés du génocide des Arméniens - de "tumeur cancéreuse de l'Europe". 

 

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